
Dans la tradition chrétienne où j’ai grandi, l’esprit est représenté par une colombe toute blanche. Elle s’envole sous la voûte des églises, se détache dans le firmament bleu des cathédrales, des basiliques…. Mais la divine colombe s’en est allée et c’est aujourd’hui, c’est ce merle qui me fait un clin d’œil… spirituel. Le blanc et le noir, la colombe et le merle et vice versa ! C’est pourquoi d’autorité je l’ai baptisé du nom de « Théo » qui renvoie à dieu bien sûr, mais un dieu modeste enfin redescendu sur terre, à hauteur d’homme sans les falbalas qui nous ont fait accroire qu’il était dans les cieux de toute éternité.
Mais les merles s’ils chantent au gazouillent peuvent parler. Quelque chose me dit que Théo va bientôt prendre la parole et entreprendre une chronique sur le temps qui passe. Car il a beaucoup de choses à dire sur le gazouillis notamment mais aussi sur les hommes de notre temps. Surveillez bien cette chronique.


