Ces vieux qui nous gouvernent
Ces vieux qui nous gouvernent
Ces vieux qui nous gouvernent
La république ou l’empire ? Tel est le choix qui incombe aux citoyens de chaque nation aujourd’hui. Les Américains y sont confrontés bientôt. Le choix qu’il feront mardi détermineront la valeur des institutions démocratiques qui, depuis deux siècles se sont efforcées de contenir la volonté de puissance, la pulsion de mort dirait Freud, qui fait partie de la condition humaine.
La controverse de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques a surtout mis en exergue la dimension morale de certains tableaux qui auraient heurté autant les chrétiens que les citoyens attachés à une vision plus apaisée de leurs institutions républicaines. Les critiques auront aussi déploré la relégation des sportifs au rang de faire valoir d’une scénographie dédiée tout entière à la magnificence de l’art et de l’Histoire de France.
Tokbar truste le poème, un peu, beaucoup, passionnément, pas de tout !
La tradition démocratique affirme depuis toujours que c’est au centre que l’on gouverne…
« Coup de poker, coup de dés, coup de massue », on a tout dit ou presque sur la décision président de la République de dissoudre l’Assemblée nationale française sauf le mot « disruption ». Pourtant, ce terme a été la marque de fabrique d’Emmanuel Macron…
Cette querelle s’est à nouveau fixée sur deux points particuliers le long d’une ligne qui sépare depuis longtemps l’Orient de l’Occident : au nord vous aurez reconnu l’Ukraine et au sud, la Palestine.
Il y a des amis qui vous accompagnent un bout de chemin, disparaissent et puis réapparaissent au hasard de la vie : ils sont comme une image de vous-même, un témoignage de ce que vous êtes devenu. Ce sont des compagnons de route. Ils sont rares. Yves Chevrefils-Desbiolles fut de ceux-là.
Je suis Théo le merle. Je descends du ciel tous les matins. je viens d’obtenir un entretien exclusif avec Dieu pour la Semaine sainte dans la langue des oiseaux. J’ai donc diligenté un traducteur pour faire le boulot !
Chers amis, vous m’ont demandé de rendre public l’entretien que Dieu m’a accordé en exclusivité pour la Semaine sainte dans la langue des oiseaux. J’ai donc diligenté un traducteur pour faire le boulot ! Saint-François étant très occupé (vous le savez sans doute, un de ces followers est devenu pape), j’ai demandé à l’un de vos amis de s’en occuper. Il a accepté. De plus, il m’accorde son espace toutes les fois que je descends sur terre pour que je vous confie mes chroniques. Que veut le peuple ! Il vient de me rendre la copie in extremis. C’est brut de décoffrage. Il y a sans doute des « coquilles », mais c’est un peu normal lorsqu’on est ovipare. Enfin, je vous préviens. Je n’ai pu le temps de le faire viser par « le lecteur sensible ». Donc, si vous être trop délicat, abstenez-vous ! À bon entendeur, salut.