« Goodbye Patricia »
Mais mon incursion la plus marquante dans le 7e art en tant qu’acteur (car j’ai surtout sévi comme critique), je la dois à Patricia Vergeylen Tassinari.
Disparue en mai de cette année 2023, cette cinéaste mérite le détour.
Mais mon incursion la plus marquante dans le 7e art en tant qu’acteur (car j’ai surtout sévi comme critique), je la dois à Patricia Vergeylen Tassinari.
Disparue en mai de cette année 2023, cette cinéaste mérite le détour.
« Ils sont fous ces humains. Ils n’ont pas de mémoire !!!! ». C’est ce que m’a chanté Théo le revenant dans sa langue de merle. Pour un peu, je croyais ne jamais le revoir ; mais il est retourné picorer ma pelouse en ces semaines fatidiques où l’apocalypse de notre humaine condition s’est révélée à nous. J’exagère ? Pas du tout. Apocalypse cela veut dire révélation. Et quelle vérité le drame israëlo-palestinien nous dévoile-t-il que tout le monde sait et que l’on veut pas voir ? Je lui redonne le sifflet à Théo pour qu’il nous le dise en ces mots. Et n’allez pas croire que les merles n’ont pas de culture !
Collaborateurs, lecteurs, amateurs et curieux sont invités à échanger avec les fondateurs du magazine
Je porte à votre attention la lettre n° 36 du Pen club ukrainien dont je coordonne la traduction française pour le PEN CLUB français, Cercle littéraire international. Vous pourrez la trouver sur le site www.penclub.fr ainsi que d’autres articles sur cette actualité qui nous concerne tous. Je vous invite à la lire avec attention et à la partager dans vos réseaux.
Il s’agit d’un extrait inédit du livre Looking At Women Looking At War : A War & Justice Diary sur lequel Victoria Amelina travaillait lorsqu’un missile russe l’a tuée. Cet extrait dont j’ai coordonné la traduction française pour le PEN CLUB français nous rappelle les jours qui ont précédé l’invasion à grande échelle, lorsque la Russie avait déjà intensifié ses attaques contre les régions orientales de l’Ukraine. Cet extrait à été publié dans le London Ukrainian Review. Il peut aussi être accessible sur le site du Pen club français.
La petite porte est l’un des mystères que Khi et Kwa doivent résoudre. Pour ce faire, ils se sont donné rendez-vous à un café terrasse. Mais leur intention était d’abord de travailler sur un projet de théâtre. Mais Kwa toujours ponctuel, est en retard. Pourquoi ?
J’ai souhaité partager l’échange que j’ai eu cet été par courriels interposés avec Emmanuel Minel, poète qui a bien bien voulu que je reproduise ici notre dialogue ainsi que l’extrait d’un bref recueil écrit dans la foulée du mien. Spécialiste de Corneille, Emmanuel est l’auteur d’un recueil intitulé » Tenure jardin ». Attention , cette correspondance se présente à rebours. A vous de choisir la manière de la lire…
Les causes de la violence des adolescents, pudiquement masqué sous son terme générique de « violence urbaine » sont connues depuis longtemps : le sentiment d’injustice sociale, de discrimination qui alimente l’emprise mafieuse par la drogue et les bavures policières qui s’en suivent…
Nathalie Picard est une poète « qui vaut le détour » pour reprendre ici un mot célèbre. Son 7e recueil confirme une voix singulière hélas trop méconnue qui s’élève, nette et claire pour faire parler les murs, comme un dazibao, à défaut de les faire tomber.
Théo parle: « Les plumes, ça m’intéresse !!! Et pour cause ! On me les arrache au sens propre… « pour écrire un mot » et puis on les utilise au sens figuré… pour se faire un nom !