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« Ti voglio Bene » : premières critiques et recensions

La vie d’un livre s’est radicalement raccourcie depuis dix ans.  Bien que plus atemporelle, le recueil de poésie est soumise   aux mêmes pressions. Aussi je suis ravi de vous faire part des premiers comptes-rendus critiques  auquel s’ajoutent  les impressions  de lecture personnelle.

Les voici  :   « J’ai bien reçu ton Ti voglio bene et je t’en remercie. J’ai lu, con vivo diletto (et à voix haute, car pour moi c’est le test qui ne trompe pas sur la qualité de la poésie), ces stances à l’absente et je me suis laissé porter par les mille modulations de ton lyrisme élégiaque, à la fois intemporel et ancré dans le présent. » (Jean Musitelli, président de l’association Dante Alghieri, France)…

Il  est suivi par l’opinion de Claude Samama, écrivain et philosophe)   dont l’article sera publié  en juin 2023 dans la revue Europe.  Ici , un extrait… « Un long poème doit dépayser sans quoi l’ennui l’enterre ou lui fait rejoindre la poussière de millions d’autres ! Avec son Ti voglio bene Fulvio Caccia entraîne son lecteur dans un voyage naturaliste, intime et cosmique, une confession, une recherche surprenante où la poésie déploie l’abondance de ses miroirs. Et s’il fallait mieux encore le revendiquer, la voilà ici usant des tours, noms et formes, échos et prestiges de la musique en une succession de chants, chacun retenant une modalité de forme, en une sorte de rhapsodie entraînante, telle une ronde autour d’un leitmotiv éternel et fugace…. D’autres devraient suivre  bientôt …. Un autre  compte-rendu  se trouve   sur Babelio  sous la plume de Richard Burns ici  ou encore  dans Altri Italiani sous la plume de Hannah Feinstein   ici . Sylvestre Clancier, président de la Maison de Poésie, rue Ballu à Paris,  y a fait explicitement référence lors de mon intervention le 4 mai 2023.  A suivre donc. 

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« La raison du plus fort est toujours la meilleure » , disait Lafontaine. Pour les détenteurs du pouvoir, la  liberté, l’indépendance, l’égalité, paraissent bien futiles. « Qui sont ces originaux qui osent  affirmer  leurs droits pour une société plus juste et plus libre ?  N’ont-ils, pas compris, les pauvres, « qu’ils n’ont pas  les cartes en main ». (Car, sous-entendu, c’est nous qui l’avons !)  Trump en a fait l’éclatante démonstration vendredi dernier dans le  bureau ovale de la Maison Blanche face au président Zelinski.

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