Tokbar teste le poème
Tokbar truste le poème, un peu, beaucoup, passionnément, pas de tout !
Tokbar truste le poème, un peu, beaucoup, passionnément, pas de tout !
Bernard Fournier nous propose un voyage dans le temps ; un retour essentiel et lapidaire au double sens du terme. Ce retour est une pierre. Elle se dresse, abrupte, dans le champ de la mémoire inviolée
La poésie que nous propose Danielle Corre dans son dernier recueil est peuplée d’ombres. Elles sont autant de signes nous indiquant le sens de la marche. Mais de quelles ombres s’agit-il ? Celles en surface qui « s’allongent/derrière nous/cherchant/sur notre passage/à accrocher/nos pas ? ».
Amandine est un prénom français qui vient du latin amandus : « celle qui est à aimer » et « celle qui doit être aimée ». Amandine qui est aussi le prénom donné au premier « bébé éprouvette » de nationalité française, est également… une pâtisserie !
Méfiant du misérabilisme lié à l’immigration et des ses accents mélodramatiques, je me suis trompé en classant ce livre dans cette catégorie. J’ai toujours pensé que ce genre d’histoire ne pouvait être raconté que si elle était sanctionnée soit par l’exil — à savoir par l’impossibilité du retour — ; soit par la tragédie.
Enfin un poème qui a du souffle ! Dans ce paysage poétique français anémié par soixante ans de formalisme, les poètes qui ont de la respiration se comptent encore sur les doigts des deux mains. Jean-Denis Bonan en fait partie. Son lexique fleure bon l’iode du grand large .
Je porte à votre attention la lettre n° 36 du Pen club ukrainien dont je coordonne la traduction française pour le PEN CLUB français, Cercle littéraire international. Vous pourrez la trouver sur le site www.penclub.fr ainsi que d’autres articles sur cette actualité qui nous concerne tous. Je vous invite à la lire avec attention et à la partager dans vos réseaux.
Il s’agit d’un extrait inédit du livre Looking At Women Looking At War : A War & Justice Diary sur lequel Victoria Amelina travaillait lorsqu’un missile russe l’a tuée. Cet extrait dont j’ai coordonné la traduction française pour le PEN CLUB français nous rappelle les jours qui ont précédé l’invasion à grande échelle, lorsque la Russie avait déjà intensifié ses attaques contre les régions orientales de l’Ukraine. Cet extrait à été publié dans le London Ukrainian Review. Il peut aussi être accessible sur le site du Pen club français.
J’ai souhaité partager l’échange que j’ai eu cet été par courriels interposés avec Emmanuel Minel, poète qui a bien bien voulu que je reproduise ici notre dialogue ainsi que l’extrait d’un bref recueil écrit dans la foulée du mien. Spécialiste de Corneille, Emmanuel est l’auteur d’un recueil intitulé » Tenure jardin ». Attention , cette correspondance se présente à rebours. A vous de choisir la manière de la lire…
Nathalie Picard est une poète « qui vaut le détour » pour reprendre ici un mot célèbre. Son 7e recueil confirme une voix singulière hélas trop méconnue qui s’élève, nette et claire pour faire parler les murs, comme un dazibao, à défaut de les faire tomber.