La bataille du centre invisible
La tradition démocratique affirme depuis toujours que c’est au centre que l’on gouverne. C’est au parti qui saura le plus s’accorder avec la sensibilité de… Lire la suite »La bataille du centre invisible
La tradition démocratique affirme depuis toujours que c’est au centre que l’on gouverne. C’est au parti qui saura le plus s’accorder avec la sensibilité de… Lire la suite »La bataille du centre invisible
« Coup de poker, coup de dés, coup de massue », on a tout dit ou presque sur la décision président de la République de dissoudre l’Assemblée… Lire la suite »De l’usage de la disruption en politique
Cette querelle s’est à nouveau fixée sur deux points particuliers le long d’une ligne qui sépare depuis longtemps l’Orient de l’Occident : au nord vous aurez reconnu l’Ukraine et au sud, la Palestine.
L’État islamique afghan ayant perpétré l’attentat qui a fait plus de 130 morts à Moscou ne s’en est pas pris aux institutions gouvernementales ou aux intérêts économiques de l’État russe (édifices gouvernementaux, aéroports, terminaux gaziers). Non, elle a frappé les spectateurs innocents d’une salle de concert où se produisait un vieux groupe rock russe.
Soucieux de contribuer à mon édification, un vieil ami (qui se reconnaîtra peut-être) s’est empressé de me faire parvenir le lien YouTube d’une conférence sur l’Ukraine. « La thèse de John Mearsheimer, bien qu’elle date de 2016 est à cent pour cent aussi la mienne » a ajouté cet ami pour m’enjoindre à l’écouter. ( Vous la retrouverez sur la dite plate-forme) Que dit donc cet auguste professeur qui a l’avait tant impressionné ?
Les dictateurs sont souvent des clowns tristes qui pour se dérider prennent le monde pour leur carré de sable personnel dans lequel ils peuvent faire et défaire leur château à leur guise, comme des enfants capricieux, colériques et frustrés qu’ils ont été.
Avec la guerre en Ukraine, le maître du Kremlin réalise le rêve secret de tout grand capitaliste : imposer sans partage une société où consommer serait la seule et unique tâche du citoyen. L’opinion internationale semble découvrir ébaubie ce qui est su depuis Karl Marx : le libéralisme économique s’accommode fort bien des dictatures.
Je viens d’apprendre la mort d’Alexandre Navalny à 47 ans dans sa prison de Sibérie. Sa disparition me touche et m’attriste comme si je perdais un être proche. Et il l’était en vérité. À force de braver le sort comme il l’a fait jusqu’ici, j’avais fini par le croire immortel ou du moins suffisamment fort pour résister aux sévices de l’incarcération du régime poutinien. On le savait malade et mal soigné ; il n’empêche, je voulais croire qu’il s’en sortirait.
Les émigrés seront-ils après les noirs et les juifs les boucs émissaires de nos sociétés dites libérales et bien pensantes ? Rien de nouveau sous le soleil, me direz-vous ! Car ce thème est dans l’air depuis belle lurette en Europe
Qu’est-ce que la culturalité, comment façonne-t-elle nos civilisations ? Ce sont les questions que pose Claude-Raphaël Samama dans son stimulant et nécessaire essai d’herméneutique intitulé justement Les civilisations du monde et leurs culturalités. Le philosophe et poète poursuit ainsi…