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Borgès et l’hyperlien

Disons-le d’emblée Borgès n’invente pas formellement l’hyperlien[1]. L’honneur revient à Ted Nelson qui l’élabore à partir d’une intuition forte de Vannevar Bush, conseiller scientifique du président américain Roosevelt et instigateur du projet Memex (Memory Extander), première tentative de mécanisation du lien. C’est en voulant réaliser ce projet sur ordinateur que Ted Nelson formalise en 1965 un mode « d’écriture non séquentielle » qu’il désigne sous le terme « hypertexte ».

Roman de bouche

Ainsi commence, « la vita assoluta », la vie absolue, le troisième roman de Giancarlo Calciolari, érudit de la psychanalyse, à la fois peintre, sculpteur, journaliste (et collaborateur de Combats), éditeur et… chef de cuisine.