La proposition est la suivante . Aujourd’hui 6 janvier, je vais publier chaque jour pendant trente trois jours les trente- trois chapitres de mon dernier roman inédit qui s’intitule » Rain Bird ». A Vous de me faire vos commentaires et d’ajouter, si ça vous chante, des extensions. A vos marques…
Qu’est-ce qu’écrire ? Qu’est-ce écrire sur écran ? Qu’est-ce écrire en ligne ? Voilà trois questions qui s’emboîtent l’une dans l’autre comme autant de poupées… Lire la suite »Ecrire en ligne
Les tueries de Toulouse et de Montauban en France sont les dernières manifestations, s’il en est, de la crise que traverse l’espace public de nos démocraties… Lire la suite »La tuerie de Toulouse et la crise de l’espace public contemporain
Il est temps de faire connaître ce que l’on a dit de mes livres. je commence par mon premier roman qui inaugure la trilogie. « En… Lire la suite »La ligne gothique, réception critique
« Ecrire gothiquement » disait Rabelais en son temps! Qu’est-ce à dire ? Et bien pour moi cela veut dire écrire avec la conscience du nouvel espace… Lire la suite »écrire « numériquement »
Bonne année d’abord à vous! Que 2012 soit bon et fécond et amorce des changements réels, différents que ceux que nous prédisent ces oiseaux de… Lire la suite »2012, l’année de tous les dangers ou de tous les espoirs?
Disons-le d’emblée Borgès n’invente pas formellement l’hyperlien[1]. L’honneur revient à Ted Nelson qui l’élabore à partir d’une intuition forte de Vannevar Bush, conseiller scientifique du président américain Roosevelt et instigateur du projet Memex (Memory Extander), première tentative de mécanisation du lien. C’est en voulant réaliser ce projet sur ordinateur que Ted Nelson formalise en 1965 un mode « d’écriture non séquentielle » qu’il désigne sous le terme « hypertexte ».
Entre les murs, le film de Laurent Cantet pour lequel on embouche avec force cocorico les trompettes de la renommée , mérite-t-il les couronnes de… Lire la suite »Entre les murs : les habits neufs de l’idéologie française
Ainsi commence, « la vita assoluta », la vie absolue, le troisième roman de Giancarlo Calciolari, érudit de la psychanalyse, à la fois peintre, sculpteur, journaliste (et collaborateur de Combats), éditeur et… chef de cuisine.
C’est en se révoltant contre la collaboration, qu’une poignée d’hommes et de femmes est parvenue à remettre la liberté à la place qui est la sienne : au centre de la vie publique