Chers amis, vous m’ont demandé de rendre public l’entretien que Dieu m’a accordé en exclusivité pour la Semaine sainte dans la langue des oiseaux. J’ai donc diligenté un traducteur pour faire le boulot ! Saint-François étant très occupé (vous le savez sans doute, un de ces followers est devenu pape), j’ai demandé à l’un de vos amis de s’en occuper. Il a accepté. De plus, il m’accorde son espace toutes les fois que je descends sur terre pour que je vous confie mes chroniques. Que veut le peuple ! Il vient de me rendre la copie in extremis. C’est brut de décoffrage. Il y a sans doute des « coquilles », mais c’est un peu normal lorsqu’on est ovipare. Enfin, je vous préviens. Je n’ai pu le temps de le faire viser par « le lecteur sensible ». Donc, si vous être trop délicat, abstenez-vous ! À bon entendeur, salut.